À cinquante ans, la vie sans filtres : le manifeste de la liberté et de l'authenticité
À cinquante ans, les contraintes deviennent insupportables. Fini les soutiens-gorge trop serrés, les dîners forcés avec une belle-sœur pointilleuse, les talons qui martyrisent les pieds et les sourires forcés. Vous n’avez plus à composer avec ces artifices.
C’est l’âge où l’on n’a plus rien à prouver. Vous êtes ce que vous êtes : un mélange de vos expériences passées et des projets que vous souhaitez encore réaliser. Si cela plaît, tant mieux. Si ce n’est pas le cas, peu importe.
À cinquante ans, que vous ayez des enfants ou non, vous devenez la mère de quelqu’un ou de quelque chose. Vous prenez soin de votre mère vieillissante, d’un père fatigué, d’une tante isolée, d’un animal recueilli, ou simplement de vous-même. C’est l’âge où l’on apprend à s’aimer dans un corps qui s’éloigne des standards, mais qui vous semble enfin le vôtre. Oubliez les vêtements trop ajustés et concentrez-vous sur ce qui importe vraiment : ne pas entendre votre dos grincer quand vous vous levez le matin.
La cinquantaine, c’est aussi l’appel de la liberté. La liberté de dire non, de passer un dimanche en pyjama, de se trouver belle pour soi-même et non pour les autres. Libre de tracer votre propre chemin : ceux qui vous aiment marcheront à votre rythme, les autres prendront le leur. Libre de chanter à tue-tête dans votre voiture, même si les passants vous dévisagent.
Et à cet âge, les rêves reviennent, intacts, comme à vingt ans. Vous demandez au temps de vous accorder encore un peu de répit pour les réaliser. Après avoir parcouru la moitié de votre vie dans la frénésie, vous redécouvrez le plaisir de savourer lentement chaque jour à venir, qu’il soit sucré ou salé.
Irène Renée
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