Des chats massacrés lors du cambriolage d’un refuge animal : une plainte pour actes de cruauté déposée

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Dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 février, le refuge animalier "Un poil de bonheur" au Soler, près de Perpignan, a été le théâtre d'un cambriolage tragique, marqué par des actes de violence insoutenables envers les félins résidents. 

Cette sombre nuit a plongé la communauté dans une profonde consternation, tandis que la responsable du refuge espère ardemment que l'enquête en cours permettra de traduire les coupables en justice. Au matin du jeudi 29 février, rapporte Actu.fr, les propriétaires ont découvert plusieurs chats morts ou grièvement blessés, les sévices perpétrés à leur encontre laissant la communauté profondément bouleversée dans les Pyrénées-Orientales.

Les équipes du refuge ont partagé sur Facebook le récit poignant de cette découverte déchirante, décrivant comment des individus ont pénétré par effraction dans les locaux, vandalisant les portes et dérobant l'argent destiné aux soins des animaux. Mais les horreurs ne s'arrêtent pas là, avec la découverte de trois chats morts sous les coups et d'une chatte gravement blessée, laissée pour morte après avoir été cruellement éventrée.

Le tragique destin de Kitty, la minette rousse retrouvée dans un état critique, vient s'ajouter au bilan déjà lourd de ce cambriolage atroce. Malgré les efforts déployés par les vétérinaires pour la sauver, elle succombe finalement à ses blessures, portant à quatre le nombre de félins perdus dans cette tragédie, selon les dires d'Olivia Fravalo, responsable du refuge. Le mystère entourant la disparition de Tokyo, un autre chat du refuge, reste également non résolu.

Olivia Fravalo loue l'exemplarité de la gendarmerie du Soler pour leur soutien et leur diligence dans le traitement des plaintes déposées. Outre la plainte initiale pour vol avec effraction, une seconde plainte pour sévices graves envers les animaux a été enregistrée, reflétant la gravité des actes commis. Les preuves collectées, y compris des prélèvements ADN, attestent de l'engagement des autorités dans la poursuite de l'enquête, toujours en cours.

Le groupement de gendarmerie des Pyrénées-Orientales confirme l'ouverture d'une enquête pour cambriolage et cruauté envers les animaux, bien que aucun suspect n'ait encore été appréhendé. Les enquêteurs ont procédé à des prélèvements ADN sur les lieux et ont mené des entretiens de voisinage, tandis que les autopsies sur les chats décédés sont en cours pour éclaircir les circonstances de leur mort.

Avec Actu.fr

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